Je ne comprends pas pourquoi on n'en parle pas plus. Il y en avait pas 400 dans le monde et la planète était sur le qui-vive. L'apocalypse se dessinait, la fin du monde était demain matin, la pandémie imminente se préparait à décimer la moitié de l'humanité et bouleverser les assises sociales...
Les médias me déçoivent.
Via Cyberpresse
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