22 août 2009

Gisèle et Gérard

Je ne veux offenser ni encenser personne, mais ce soir, en revenant d'un souper (en mon honneur parce que c'était mon anniversaire) j'ai arrêté dans un dépanneur.

Le dépanneur de Gisèle et Gérard.

Je veux mourir de bonheur pour les dieux des dépanneurs qui ont permi une telle amplitude ainsi qu'une telle dénomination pour une maison de dépannage aussi résolument assumée.

Merci Gisèle. Merci Gérard.

Merci aussi pour le 6-pack, la barre de Reese et le 3,42 $ de change.

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