27 mars 2010

Jamie Oliver

J'ai toujours aimé Jamie Oliver. Son énergie, sa passion, son petit sex-appeal très british, le léger zézaiement, son accent un peu contrefait pour qu'on l'aime un peu plus (pukka pukka pukka), j'ai même un de ses livres de recettes (que j'ai ouvert des dizaines de fois même si je n'ai jamais essayé une seule de ses recettes; je sais pas pourquoi, je peux pas l'expliquer...).

Il y a quelques années, Jamie s'est lancé dans une aventure complètement folle : faire changer le menu des cafétérias scolaires britanniques. Et il a réussi. Maintenant, il s’attaque à l’impossible : faire comprendre aux américains que la véritable place de la junk food est dans le fond des composteurs.

Pour ce faire, il a débarqué à Huntington en Virginie-Occidentale, surnommé the unhealthiest city in America ou encore celle où les genoux pleurnichent sans arrêt et à l’unisson pour leur futur. Ça ne sera pas facile.

À la cafétéria de l’école, les enfants mangent de la pizza au petit déjeuner, ils sont incapables de nommer un seul légume et leurs parents refusent de cuisiner s’ils doivent rouler plus que 3 degrés pour se rendre à la cuisinière.

Ouep, ça prend du courage.

Pour le site de Jamie, cliquez ici.
Pour le site officiel de l'émission Jamie Oliver's Food Revolution sur ABC, cliquez ici.
Pour mes compatriotes, on peut voir l'émission via l'Internet sur CTV.ca.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire