En 2003, lors de la première saison de Star Académie, j'étais à l'extérieur de la province et je suis revenu 2 semaines après la fin de la saison. Je pense que ça m'a immunisé.
À mon retour, mes amis, ma famille, mes collègues m'expliquaient que le Québec arrêtaient littéralement de vivre les dimanches soir pour se planter devant leur télé et regarder ce qui allait devenir, avouons-le, un véritable phénomène culturel.
Et bien sans vraiment y penser, sans avoir voulu y résister, je peux avouer avec fierté que je n'ai jamais écouté une seule émission de Star Académie. Des bribes ici et là, rien de plus. Certains ne me croient pas, d'autres me trouvent bizarre ou ne comprennent pas... je m'en crisse.
À mon retour, mes amis, ma famille, mes collègues m'expliquaient que le Québec arrêtaient littéralement de vivre les dimanches soir pour se planter devant leur télé et regarder ce qui allait devenir, avouons-le, un véritable phénomène culturel.
Et bien sans vraiment y penser, sans avoir voulu y résister, je peux avouer avec fierté que je n'ai jamais écouté une seule émission de Star Académie. Des bribes ici et là, rien de plus. Certains ne me croient pas, d'autres me trouvent bizarre ou ne comprennent pas... je m'en crisse.
Évidemment, je finis par connaître un peu les concurrents et les éventuels gagnants (ils sont tellement exposés) et je suis même content pour eux mais ce gala hebdomadaire et cette quotidienne ? non merci.
Je ne dénigre rien, et je n'oserais pas. Selon ce que j'entends, les galas sont même de très grande qualité, mais je trouve ça plate. Même ben plate. Que voulez-vous ? Ça vient pas me chercher.
Je ne me lancerai pas dans une grande analyse sociologique, je n'ai pas les connaissances qu'il faut et je ne suis pas équipé pour ça, mais j'ai pas le goût de m'empêcher de dire que chez-moi, le dimanche soir, je suis branché ailleurs.
Je ne dénigre rien, et je n'oserais pas. Selon ce que j'entends, les galas sont même de très grande qualité, mais je trouve ça plate. Même ben plate. Que voulez-vous ? Ça vient pas me chercher.
Je ne me lancerai pas dans une grande analyse sociologique, je n'ai pas les connaissances qu'il faut et je ne suis pas équipé pour ça, mais j'ai pas le goût de m'empêcher de dire que chez-moi, le dimanche soir, je suis branché ailleurs.
Il y en a qui aime, d'autres pas. Je fais parti de cette dernière catégorie et en plus, j'ai même pas eu à choisir.
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