La constitution de l'Afrique du sud est de loin la plus éclairée sur le continent noir, pourtant la sexualité est encore incomprise et tabou. Dans les cercles composés majoritairement d'hommes, les lesbiennes ne sont pas appréciées et ils en ont même peur. Alors, selon eux, un seule remède existe pour cette situation : le viol.
Chaque année, l'organisme ActionAid estime que 500 000 femmes sont violées en Afrique du Sud et les lesbiennes sont particulièrement ciblées parce que l'on pense que le viol va guérir leur homosexualité. 86 % des lesbiennes noires vivent dans la peur.
Seule une minorité de viols sont dénoncés, 1 sur 5 finissent en cour et seulement 4 % de ces derniers se concluent par une condamnation.
En 2008, la Commission des droits de la personne du pays rapportait que les "viols correctifs" étaient à la hausse dans les écoles. En mars dernier, ActionAid disait que le viol devient le crime le plus répandu contre les lesbiennes. Un groupe de soutien situé à CapeTown reçoit 10 nouveaux cas par semaine.
Voici un court-métrage d'ActionAid expliquant la situation tragique de ces femmes.Chaque année, l'organisme ActionAid estime que 500 000 femmes sont violées en Afrique du Sud et les lesbiennes sont particulièrement ciblées parce que l'on pense que le viol va guérir leur homosexualité. 86 % des lesbiennes noires vivent dans la peur.
Seule une minorité de viols sont dénoncés, 1 sur 5 finissent en cour et seulement 4 % de ces derniers se concluent par une condamnation.
En 2008, la Commission des droits de la personne du pays rapportait que les "viols correctifs" étaient à la hausse dans les écoles. En mars dernier, ActionAid disait que le viol devient le crime le plus répandu contre les lesbiennes. Un groupe de soutien situé à CapeTown reçoit 10 nouveaux cas par semaine.
Via The Independent
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