Il y a une expression en anglais qui dit "when it rains, it pours...", laissez-moi la reprendre à ma manière en disant : "when it rains whores, it pours whores..." (si vous ne savez pas ce que whore veut dire, cherchez dans Google après avoir éloigné les enfants).Évidemment, qu'après une première maitresse, il y en a une 2e, peut-être 3 ou 4, des serveuses cocktails un peu partout et des groupies déguisées en trous de golf. Il s'excuse publiquement, il se terre, les médias de l'univers l'attendent de tous côtés et les paparazzis se tiennent à l'affût en négociant leur 8e hypothèque en pensant aux profits de la vente de photos... Il y a beaucoup de bruit à propos de cet irréprochable Tiger depuis cet accident bizarre d'il y a quelques jours.
Je ne commenterai pas les événements et franchement je ne m'y intéresse pas (sauf pendant la conférence de presse donnée par la Sherif de son comté, je me foutais de ce qu'elle disait, je n'avais d'yeux que pour elle), je ne veux juste que partager le fait que dans notre monde supersonique, passer de la légende au trou-duc du coin, ça se fait en un tour de main.
Hé oui, malgré les centaines de millions et le parcours, jusqu'ici, sans faute, il n'est qu'humain.
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