Quand on l'interrogeait sur Metropolis, Fritz Lang répondait : "Comment voulez-vous que je vous parle d'un film qui n'existe plus ?"
Ce film charnière du 7e art, a finalement recouvré sa beauté d'origine. Les Berlinois ont eu l'immense privilège de revoir le chef-d'oeuvre du grand maître allemand tel qu'il l'ont connu en 1927 lors d'une projection en plein air devant la Porte de Brandebourg vendredi dernier. Une copie oubliée dans un tiroir, quelque part à Buenos Aires, a permis la restauration du film qui durait, à l'origine, 150 minutes.
J'aime beaucoup la conclusion de l'article sur Le Monde : Metropolis n'est plus seulement la matrice de films de science-fiction (de La Fiancée de Frankenstein à La Guerre des étoiles) ou un élément du débat sur la lutte des classes en Europe. C'est une oeuvre à part entière, dont les faiblesses (l'interprétation de certains rôles, la naïveté roublarde du leitmotiv politique) font encore mieux ressortir la richesse.
Le film peut être vu dans sa totalité sur YouTube en 12 parties.
Le synopsis : Metropolis est une mégalopole divisée en deux : la ville haute, où vivent les familles dirigeantes, dans l'oisiveté, le luxe et le divertissement, et la ville basse, où les travailleurs font fonctionner la ville.
Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes, et emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute. Freder Fredersen (Gustav Fröhlich), le fils du dirigeant de Metropolis, tombe amoureux d'elle. Son père, sentant la menace venir ordonne de donner le visage de Maria à un robot pour qu'il détruise l'œuvre de la vraie Maria.
Via Cyberpresse et Le Monde
Ce film charnière du 7e art, a finalement recouvré sa beauté d'origine. Les Berlinois ont eu l'immense privilège de revoir le chef-d'oeuvre du grand maître allemand tel qu'il l'ont connu en 1927 lors d'une projection en plein air devant la Porte de Brandebourg vendredi dernier. Une copie oubliée dans un tiroir, quelque part à Buenos Aires, a permis la restauration du film qui durait, à l'origine, 150 minutes.
J'aime beaucoup la conclusion de l'article sur Le Monde : Metropolis n'est plus seulement la matrice de films de science-fiction (de La Fiancée de Frankenstein à La Guerre des étoiles) ou un élément du débat sur la lutte des classes en Europe. C'est une oeuvre à part entière, dont les faiblesses (l'interprétation de certains rôles, la naïveté roublarde du leitmotiv politique) font encore mieux ressortir la richesse.
Le film peut être vu dans sa totalité sur YouTube en 12 parties.
Le synopsis : Metropolis est une mégalopole divisée en deux : la ville haute, où vivent les familles dirigeantes, dans l'oisiveté, le luxe et le divertissement, et la ville basse, où les travailleurs font fonctionner la ville.
Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes, et emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute. Freder Fredersen (Gustav Fröhlich), le fils du dirigeant de Metropolis, tombe amoureux d'elle. Son père, sentant la menace venir ordonne de donner le visage de Maria à un robot pour qu'il détruise l'œuvre de la vraie Maria.
Via Cyberpresse et Le Monde
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