Et par l'exemple, je veux dire, faire bye-bye en agitant frénétiquement un contenant de Purell dans la diligence motorisée qui la transporte des plaines déssechées du Malawi à son avion privé. Elle a raison, en ces temps de syndromes grippaux, ne prenons aucune chance.
Bien sûr, elle ne veut que leur bien. En partageant ses millions pour construire des écoles qui transmettra le savoir, on ne peut que l'applaudir. (Enfin, on aime le croire, Madge n'est pas reconnue pour ses élans de générosité quant ils ne servent pas à la grandir.) Mais l'incident, ou le faux-pas, est beaucoup trop croustillant pour que l'on ne s'y intéresse pas.
Que s'est-il passé Madge ? Cette terre infectée qui s'est faufilée sous tes ongles t'inquiète ? Ce sol foulé par le pauvre peuple t'effraie ? Ou encore, est-ce un autre coup de marketing pour que l'on parle de ta noble entreprise (t'es quand même une experte en la matière) ?
Anybeurkandewwandimabouttovomit, disons que la poignée de porte du VUS a été touché par ton chauffeur enrhummé et que tu es prudente...
Via The Guardian
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